L'inaction climatique est visible sur les graphes de concentration de CO2 atmosphérique. Nous en déduisons dans l'hypothèse où cette inaction globale sur le climat (factuelle) perdure, une date probable d'irréversibilité, en se basant dans une hypothèse optimiste, celle que les experts du GIEC n'ont fait aucune erreur majeure dans leurs analyses ou modèles.